J’aime quand des artistes tentent des choses, tentent de construire des ponts entre les styles, entre les cultures. Ceci étant dit, comment ne pas adorer Mélissa Laveaux ? Née à Montréal, de parents haïtiens, elle fit sensation au Canada en 2006 avec un premier album autoproduit qu’elle défendra sur scène dans tous les clubs du pays. Le label français No Format! l’a pris sous son aile en 2007 et son second album, Camphor and Copper sort le 3 novembre prochain. Voici pourquoi vous allez en entendre parler.
Voilà très certainement un des albums de blues les plus sous-estimés et ignorés. C’est purement incompréhensible. On peut expliquer cet « oubli » par la notoriété qu’acquit plus tard Fleetwood Mac avec l’album Rumours et une formation largement remaniée, qui n’avait plus rien à voir avec le blues-rock présent dans The Original. Quel putain d’album tout de même.
Ey oh ey oh et une bouteille de rhum pour la p’tite dame ! Sorti en auto-production en 2004, le premier album d’Alela Diane est ressorti en 2006 dans une version « révisée ». Elle est 25 ans, elle est californienne et est associée à la New Weird America, dont le chef de file est l’inévitable Devendra Banhart. Son univers et sa voix sont pour autant tout à fait uniques.
«Peggy Sue, Peggy Sue, pretty pretty pretty Peggy Sue, my Peggy Sue…», voilà à quoi j’ai instantanément pensé en tombant sur la page de Peggy Sue & The Pirates. Mais Buddy Holly s’est vite effacé lorsque le lecteur MySpace s’est mis en route. En cherchant des choses pour alimenter cette rubrique j’en ai entendu des trucs nuls, j’peux vous l’dire. J’ai même pensé faire une rubrique « le pire de MySpace » parce que franchement, y a des choses… Mais passer du temps à parler de trucs qui n’en valent pas la peine, l’intérêt est minime. Alors je vous parle de perles, et les deux filles qui forment le duo Peggy Sue & The Pirates en sont une.
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