Avec un certain Erlend Øye à la production (Kings of Convenience, Whitest Boy Alive), rien ne peut mal se passer. Je connais assez mal, voire pas du tout à vrai dire, les Norvégiens de Kakkmaddafakka, mais ce morceau m’a convaincu d’aller jeter une oreille à leurs quatre albums, en commençant par le dernier en data, KMF. J’aime cette pop qui fait voyager, ce petit riff de guitare cristallin et cette voix qui passe comme une lettre à la Poste, tellement bien que les paroles s’en trouvent complètement accessoires, en tout cas à mes oreilles.
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